Étiquette : confiture

Confiture gratis

Confiture gratis

Je rêvais de faire de la confiture de A à Z. À 100 m, il y a les dunes, de la silice en quantité, j’ai deux bonbonnes de gaz, je dois pouvoir faire du verre le souffler pour faire des jolis pots de confiture tout 

L’écume des fraises

L’écume des fraises

  L’écume, c’est la frange supérieure de la vague, c’est la sueur du cheval qui a travaillé fort, c’est la mousse sur la confiture de petites fraises des bois. Cela m’a pris pas loin de 3 heures pour ramasser 1,5 kg de fraises sur mon 

Yaourt à la confiture chaude

Yaourt à la confiture chaude

C’est le nouveau délice à la mode!

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Il faut de la confiture de fraise chaude sur laquelle vous déposez gracieusement quelques cuillères de yaourt grec zéro pour cent. Ensuite, touillez délicatement pour obtenir un tourbillon du plus bel effet.

Je vous voix venir, vous pensez que c’est un dessert qu’on peut se faire comme ça, n’importe quel jour de l’année. Une cuillère de confiture de fraise Bon papa, un petit coup de micro-onde, et hop, de la confiture chaude! Un coup de micro-onde, c’est la mort de la cuisine. Non, non ce dont je vous parle c’est de la confiture naturellement chaude! Je vous explique: il vous faut une roulotte, deux kilos et demi de fraises bio, un kilo trois cents grammes de sucre, un trait de citron, des bocaux, une belle marmite et un entonnoir à bocaux.

Vous commencez par équeuter les fraises, les faire macérer et ensuite vous chauffer tranquillement, de temps en temps vous retirer les fruits pour faire bien réduire le jus et quand vous avez atteint 105°, vous mettez en bocaux. Bien sûr, il n’y en a pas exactement pour remplir 8 bocaux alors il vous reste un peu de confiture chaude.

Vous mettez le reste de confiture naturellement chaude et vous ajoutez le yaourt grec 0%.

>>>>recette

Recette

Coup de feu!

Coup de feu!

Il y a eu un meurtre à la cuisine. Le cadavre est étendu de tout son long en travers du plan de travail. Ça a giclé partout. Des éclaboussures sur les murs. Des tâches jusqu’au plafond ! C’est la pétaudière, cette cuisinette. C’est le fouillis. C’est 

Confiture de mots

Confiture de mots

Maintenant il n’est plus question d’acheter des confitures du commerce, il paraît. Bien que réticente au début, comme je vous l’ai raconté, de peur du botulisme soi-disant. Le botulisme! Je vous demande un peu ? Une dizaine de cas par an et, de toute façon, 

Couscous aux pêches

Couscous aux pêches

Eh oui, c’est la fête du travail, le muguet est fleuri et même fané, pâli, passé parce que la fête du Travail, c’est le 1er septembre !

L’été est presque fini. Les oies vont bientôt repasser. Les belles journées d’été finies, les outardes remettent leur pantalon. Finis les shorts et les jupettes. Finis les t-shirts et les camisoles. Finies les tenues légères et décontractées. Voici revenu le temps des pantalons et jupes de laines droites. Revenu le temps des chemisiers grand teint et des souliers vernis. Il faut repasser. Refaire le pli du pantalon. Resserrer le plissé soleil. Redresser le col affaissé.

Heureusement, il fait encore 26°. Parfois même 28°. Que dis-je 78,8° ! Presque 80° ! Ce n’est pas difficile, il faut retirer 32 et multiplier par 5/9. Comme vous voyez, rien de bien compliqué. Au bout du compte, on saute dans la piscine à 80° sans se frire les fesses et, quand on fait de la fièvre, on a 104°. Mais il y a pire, en degrés Kelvin, on aurait 313°K. Je ne sais pas où ils se thermomètrent le fondement en Kelvin, mais ils ont chaud, ceux-là.

Donc, il ne fait pas si froid et, si ce n’est pas encore le temps du pot au feu revigorant, ce serait bien le temps d’un petit couscous des familles. C’est vrai après tout le couscous, comme là-bas, ça se fait toute l’année, n’est-ce pas. Et, là-bas, toute l’année, il fait chaud.

J’ai acheté un kilo de paleron. J’aime bien le paleron, mais je veux le couper moi-même. Je vous rassure, pas sur la bête quand même. Bien que, vu ma svelte silhouette actuelle, l’habit de lumière me siérait à plaisir. Me serrerait un peu aussi néanmoins. Mais je ne me vois pas, avec le grand sabre, m’approchant du jeune taureau adolescent, pour une viande tendre à souhait, pour lui tailler, non pas une bavette, ils ne sont pas très causants à cet âge-là, mais un kilo de paleron dans l’épaule. Et oui, le paleron, c’est dans l’épaule. Vous voyiez ça dans la fesse, je suppose ? Pourtant ce n’est pas difficile: la tête, la joue, le collier, vous les placez ? La poitrine, les plates côtes ou le flanchet, ça va aussi. La culotte, c’est bon. Le gîte à la noix, il y a une bonne indication. Le filet et le faux-filet, ce sont les longs muscles de la colonne vertébrale, l’aloyau ou les bavettes, c’est juste en dessous. Si on descend encore, on a le jarret, la gite et la crosse, dans les pattes. Les jambes, c’est pour les chevaux et accessoirement les humanoïdes. Alors qu’est-ce qu’il nous reste ? La surlonge et le paleron, dans l’épaule de la brave bête.

Mais, au milieu de la pièce de paleron, il y a un gros amas tendineux et les bouchers, cela ne les gêne pas. Moi, j’aime des beaux cubes persillés sans excès alors je nettoie ma viande à grands coups de couteau, mais sans en perdre.

J’ai bien tout acheté sauf que j’ai oublié les pois chiches. Je suis chiche de faire le couscous sans eux, mais ce serait moins bien.

 Alors, nous sommes allés acheter des poids chiches et nous avons acheté des pêches. Non, ce n’est pas un effet du whisky japonais, ni Yamasaki, ni Nikka, c’est que les pêches n’étaient pas trop chères alors j’ai fait du couscous et de la confiture. La confiture, je vous la raconte une autre fois, mais, pour le couscous, c’était royal !
Comme on dit chez nous maintenant: “voi a comer”
À table !