Le moins que l’on puisse dire, c’est que les débuts sont difficiles!
J’ai l’impression d’apprendre à faire du monocycle encore une fois!
Donc tempête de neige à Montréal s’intensifiant juste à l’heure du décollage. Et à Toronto, c’est la déroute…
À l’enregistrement, ils me mettent sur un vol qui devrait partir plus tôt, 20 h au lieu de 22 h, et qui finalement ne partira qu’à minuit et demi et donc je rate ma correspondance de deux bonnes heures.
Il est trois heures du matin, tout est fermé dans l’aéroport, vers 5 heures un comptoir s’ouvre lentement et il est pris d’assaut par tous les passagers restés sur le carreau.
Au final, je dois attendre un vol de 19 heures pour Vancouver, y attendre 7 heures pour aller à Hong Kong, y attendre encore 6 heures et arriver 36 heures plus tard que prévu!
Moi, je me disais 10 cm de neige, ce n’est pas un problème, mais les aéroports ne sont pas plus doués que tous les Québécois qui se sont retrouvés dans la première tempête sans pneu d’hiver … comme tous les ans.